Radioisotopes pour l’imagerie et la thérapie en médecine nucléaire, hadronthérapie FLASH, caractérisation de détecteurs, analyses par faisceaux d’ions et séparation en masse.
- 7doctorants
- 1post-doctorant
- 2ingénieurs, techniciens
- 10chercheurs
Equipe PRISMA
Radioisotopes médicaux
Quels radioisotopes pour la médecine nucléaire de demain ? Dans le cadre de la médecine personnalisée, au sein de la communauté Arronax Nantes, nous recherchons de nouveaux radioisotopes pour l’imagerie et la thérapie, voire le couplage des deux, appelé théranostique. Nous utilisons les faisceaux du cyclotron Arronax (protons, deutons et particules alpha) et concevons des cibles pour mesurer les taux de production et déterminer les voies de production optimales.
- 2007 PRISMA
- Création de l'équipe cyclotron, détecteur, CND
- 2009 CND
- TECHNOCAMPUS EMC2 contrôles non destructifs
- 2010 ARRONAX
- Premières irradiations avec le cyclotron
- 2023 SMILES
- Séparation en masse coupléeà l'ionisation laser
Hadronthérapie FLASH
L’utilisation de faisceaux de protons (hadronthérapie) à ultra haut débit de dose (FLASH) semble très prometteuse pour réduire la toxicité aux tissus sains par rapport à la radiothérapie conventionnelle. Nous concevons et menons des expériences d’irradiation, en collaboration avec médecins et biologistes, pour mettre en évidence ces effets et identifier les mécanismes physico-chimiques sous-jacents.
Séparation en masse par ionisation laser
Le projet SMILES a pour but de concevoir et construire un dispositif innovant de séparation en masse couplée à l’ionisation laser sélective, configurable et adaptable pour des applications environnementales et en santé. Il devrait être opérationnel en 2027 dans un nouveau bâtiment dédié à Subatech.
Analyses élémentaires et détecteurs
Les analyses par faisceaux d’ions sont des méthodes d’investigation permettant de déterminer la composition élémentaire d’échantillons de manière non destructive. Avec les faisceaux de haute énergie d’Arronax, elles sont particulièrement adaptées à l’analyse d’objets précieux comme ceux du patrimoine, que nous étudions en collaboration avec le laboratoire Arc’Antique de Loire-Atlantique. Nous caractérisons également des détecteurs, par exemple de type diamant ou ceux du projet DORN, qui vont être envoyés sur la face cachée de la lune pour en explorer la composition